À ostende
Alain bashung
A Ostende j'aime GibraltarCes rochers qui s'ingénientA me faire du platA OstendeJe tire au standJe gagne des otariesLa mer se retireCache ses rouleauxA l'ombre des diguesElle et moi on s'ennuieNos souvenirsFont des îles flottantesA OstendeJ'ai la hantise de l'écharpeQui s'effiloche à ton couA Ostende j'aime EpinalSes ondées lacrymalesA l'arrivée du ferryUn soupçon de fadeurUn rien de tragédieEt je pleureMon collyreMa colèreFlottez hippocampesDroits comme des iLaissez-vous porterPar l'extrême obligeanceFaites fiDe la géographieDes petits ensemblesDes grands amphisA OstendeJ'aime GibraltarA Ostende j'appréhendeLes forces en présenceJe paye en yensDes offrandes carabinéesA mes païennes indifférentesArmes et palabresA OstendeTout me navreA Oslo j'aime AgadirSon brouhahaA Java j'aime la VilletteA l'Alma je soupireEn Ukraine j'aime le fadoA OstendeFlottez hippocampesDroits comme des iLaissez-vous porterPar l'extrême obligeanceFaites fiDe la géographieDes petits ensemblesDes grands amphisA Ostende j'aime GibraltarCes rochers qui s'ingénientA me faire du platA OstendeJe tire au standJe gagne des otariesLa mer se retireCache ses rouleauxA l'ombre des diguesElle et moi on s'ennuieNos souvenirsFont des îles flottantesA OstendeJ'ai la hantise de l'écharpeQui s'effiloche à ton cou
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