Larmes aux poings
Chelon georges
Enfin tu es làTu nous es revenueÇa faisait bien deux moisQu'on ne t'avais pas vueÇa faisait bien un moisQue je ne vivais plusEnfin tu es làEt ça ne compte plusEnfin tu es làEblouie de vacancesToi qui a eu la chanceD'aller voir aussi loinEst-ce que c'est beau là-basEst-ce que ça vaut la FranceMoi je garde le silenceCar tu es là enfinJe voudrais te serrerOh ! je voudrais te direCombien tu m'as manquéMais il faut se retenirIci l'on ne peut pasSe dire combien l'on s'aimeIci l'on ne peut pasÇa ferait trop de haineMais quand nous serons loinDe ces gens, de leurs motsQuand nous ne serons plusDe simples numérosTu redeviendras toiJe redeviendrai moiEt sûr qu'on s'aimeraEt sûr qu'on s'aimeraEnfin tu es làMais que tu es lointaineTes yeux me voient à peineIls sont encore là-basCe là-bas que déjàJe hais parce que tu l'aimesCette terre incertaineQue tu as vue sans moiMais cette nuit qui vientVa te faire oublierCe pays où tes yeuxRestent encore attachésCe pays que l'enfantQui vit encore en toiS'émerveillait de voirEt pleure de n'avoir pasQue dis-tu ? Tu repars ?Tu retournes là-bas ?Faire tant de cheminPour venir me dire çaEt me le dire iciOù je ne peux rien faireEt me le dire iciOù mon cœur doit se taireEt moi qui n'ai plus rien dans cette vieLes larmes au poingsJe te souris
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