Blues machine blues
Daniel seffJ'ai usé un max de gomme sur les autoroutes du hasard
J'ai connu les vents mauvais qui m'ont fait regretter le brouillard
J'ai essuyé la tourmente soufflant dans les voiles du désespoir
Blues machine blues
Je me suis cru trop fragile à l'écoute de radio nombril
Je me suis cru hémophile quand l'enfance ne tient plus qu'à un fil
J'ai voulu fixer le ciel mais le soleil m'a brûlé les yeux
Et pour chercher une étoile, mon regard était bien trop brumeux
Blues machine blues
J'ai prisé des poudres blanches
Qui n'ont fait que me faire éternuer
J'ai marché de longues routes surtout celles qui mènent à nulle part
J'ai usé un max de gomme sur les autoroutes du hasard
J'ai connu les vents mauvais qui m'ont fait regretter le brouillard
J'ai essuyé la tourmente soufflant dans les voiles du désespoir
Blues machine blues
Je me suis cru trop fragile à l'écoute de radio nombril
Je me suis cru hémophile quand l'enfance ne tient plus qu'à un fil
J'ai voulu fixer le ciel mais le soleil m'a brûlé les yeux
Et pour chercher une étoile, mon regard était bien trop brumeux
Blues machine blues
J'ai prisé des poudres blanches
Qui n'ont fait que me faire éternuer