Diguadidou
Georgius
Un jour je fis une chansonUne chanson pour MarinetteMais je la fis à la façonDe nos plus modernes poètesDigadidou digadidou digadidou digadidouElle comprit en un instantDigadidou digadidou digadidou digadidouQue j'étais très intelligentDigadidou digadidou digadidou digadidouElle me dit chéri c'est trop beauDigadidou digadidou digadidou digadidouComme tu sais dire les mots qu'il fautQuand je fus au second refrainDe cette chanson spirituelleElle eut une notion enfinDe ma valeur intellectuelleDigadidou digadidou digadidou digadidouElle dit avec du vague à l'âmeDigadidou digadidou digadidou digadidouComme tu sais bien parler aux femmesDigadidou digadidou digadidou digadidouOù donc fis-tu cette chansonDigadidou digadidou digadidou digadidouC'est quand j'étais à CharentonMais les chansons ont leur destinUn soir que je chantais la mienneSous sa fenêtre je revinsElle gueulait à perdre haleineDimadioui dimadioui dimadioui dimadiouiC'était l'refrain d'un genre connuDimadioui dimadioui dimadioui dimadiouiJe compris que j'étais cocuDimadioui dimadioui dimadioui dimadiouiJe m'croyais spirituel mais j'voisDimadioui dimadioui dimadioui dimadiouiQue j'ai trouvé plus bête que moiDimadioui dimadioui dimadioui dimadiouiOui j'ai trouvé plus bête que moi
Encontrou algum erro na letra? Por favor envie uma correção clicando aqui!
Mais ouvidas de Georgius
ver todas as músicas- Roule, roule (Le mécanicien et la garde-barrière)
- Partir la veille
- Les vaches et les cochons
- Le tango neurasthénique
- Dure de la feuille
- La plus bath des javas
- Le chant de l'insigne
- Ah ! Quelle vie qu'on vit !
- Le genre de la maison
- Jacky apprend le charleston
- Avec les pompiers
- On l'appelait Fleur-des-Fortifs
- La vraie gigouillette
- Marie
- Sur la pointe des pieds
- L'homme du milieu
- Par politesse
- La noce à Rebecca
- Vive le nu
- Du persil dans les narines