Mieux respirer
Karkwa
Ma rue bouge et court, je subis la ville et la nuit je n'arrive pas à dormir,mais je souris :
tout pour bien paraître.
Dans la roue, dans le trou sous le gris du ciel et le cri des crécelles, de tant de frein, tant de fous.
Je n'voudrais plus y être.
Fou, je n'voudrais plus l'être.
Chaque pas dans le trottoir me fait voir des affaires, me fait croire que le noir me donne un bel air.
Ma face blanche éclaire.
Mon lit dort pour moi dans la poussière des jours de 36 heures ou plus de 30 voleurs et 6 bières.
Rien pour rester fier.
Tout pour y rester, mais '
J'interchangerai les couleurs et déplacerai les étés pour dilater mes humeurs et mieux respirer.
Dans mon insomnie, dans mon bain, dans mon lit, je sais que mon cœur et mon esprit se tournent vers elle.
Je l'ai dans mon être.
Tous les jours c'est la même ritournelle : toutes les minutes je prie pour que la vie me donne des ailes.
Sans aucun 'peut-être'.
Elle, sans aucun 'mais''
J'interchangerai les couleurs et déplacerai les étés pour dilater mes humeurs et mieux respirer.
J'interchangerai les couleurs et déplacerai les étés pour dilater mes humeurs et mieux respirer.
Dans la roue, dans le trou sous le gris du ciel et le cri des crécelles de tant de frein, tant de fous.
Je n'voudrais plus l'être
tout pour bien paraître.
Dans la roue, dans le trou sous le gris du ciel et le cri des crécelles, de tant de frein, tant de fous.
Je n'voudrais plus y être.
Fou, je n'voudrais plus l'être.
Chaque pas dans le trottoir me fait voir des affaires, me fait croire que le noir me donne un bel air.
Ma face blanche éclaire.
Mon lit dort pour moi dans la poussière des jours de 36 heures ou plus de 30 voleurs et 6 bières.
Rien pour rester fier.
Tout pour y rester, mais '
J'interchangerai les couleurs et déplacerai les étés pour dilater mes humeurs et mieux respirer.
Dans mon insomnie, dans mon bain, dans mon lit, je sais que mon cœur et mon esprit se tournent vers elle.
Je l'ai dans mon être.
Tous les jours c'est la même ritournelle : toutes les minutes je prie pour que la vie me donne des ailes.
Sans aucun 'peut-être'.
Elle, sans aucun 'mais''
J'interchangerai les couleurs et déplacerai les étés pour dilater mes humeurs et mieux respirer.
J'interchangerai les couleurs et déplacerai les étés pour dilater mes humeurs et mieux respirer.
Dans la roue, dans le trou sous le gris du ciel et le cri des crécelles de tant de frein, tant de fous.
Je n'voudrais plus l'être
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