Under the throne of dead emotions

The throne of dead emotions stands cold
Inside my decaying flesh,
Uderneath a source is growing
And it distils the frozen disgust and fear.

The poisonous fluids of my vital hellè
They are the rivers that feed and swell
The ocean of darkness, the abyss of tears
On which my soul floats and sometimes
Drown, tormented and torn by doubt and
White spectral illusions.

Voices of desolation pour out into these
Rotting dreams of mine, fragments of
lifeless obscenity they dissipate my
deathlike adoration of tragedies, so the
mortal seed doomed to silence can speak
the words of the beast...

"Donnons notre vie à cette majesté de
mépris et de haine, foulons la piété et
l'espoir, que ces rats se noient dans
leurs larmes de pitié et de joie, qu'ils
se lacèrent le visage et le corps devant
notre chutte éclatante...
Nous renions le Père et déchirons de nos
mains le ventre nourrissier, et, de toi,
divinité impuissante, nous faisons le
symbole de l'idolâtrie des chiens...
Nous traînons le visage de ton fils dans
le sang impur des putains...
Dissous-toi dans cette splendeur divine
agonisante, regarde mourir tes créatures
infectes car elles sont les plaies de
ce monde."

Dans une extase blasphématoire, je
jouirai sur leurs reliques oubliées...

"Si nous versons notre sang pour toi,
si nous tuons en ton nom, nous offriras-tu
l'éternité comme tu le promis à tes fils déchus?
Jure-le moi!!!"

"Je rêve de tremper mes mains dans les
entrailles de celui qui insuffla la vie,
qui permit à cette absurdité de prendre
forme en me laissant d'autres choix
que de tout détruire ou de m'évanouir
dans le néant."

Sans un sourire, sans un pleur, répandons
sur ce monde cette semence de haine et
de désespoir. La naissance est une
malédiction irrémédiable, tendez vos
poignets vers ces lames froides comme nos
rêves, qu"enfin s'achève ce cycle
grotesque de vie et de décrépitude.
Frères et Soeurs, nous sommes pur à
nouveau car l'humanité a déserté ces chairs,
seul l'Archange de la Mort nous unira
par nos vices et nos péchés innommables.

Such is my fate, the denial, the grave
Where transgressed emotions lie dead
Where amidst the ruins of this black
Throne grow the thorns of negativity,
The frost of my hate for all that celebrate
Life and birth. At last to lay and drown in
THe source of life's sufferingwith the
cynical grin of those who met His face and
To die, never to feel anymore.