En sourdine
Sava
Les roses étaient toutes rouges
Et les lierres étaient noirs
Cher pour peu que tu bouges
Renaissent tous mes espoirs
Et les lierres étaient noirs
Cher pour peu que tu bouges
Renaissent tous mes espoirs
Le ciel était très bleu, très tendre
La mer très verte et l'air très doux
Calmes dans le demi-jour
Que les branches hautes font
Pénétrons bien notre amour
De ce silence profond
Fondons nos âmes, nos cœurs
Parmi les vagues langueurs
Mystiques barcarolles
Romances sans paroles
Chèr, tes yeux ont la
Couleur des cieux
Étrange vision, qui dérange
Et trouble l'horizon de ma raison
Puisque tout ton être
Musique qui pénètre
Sur d'almes cadences
Et ses correspondances
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