Seigneur voland

Les jours de dieu sont comptés

Seigneur voland
Les jours de dieu sont comptés et je vois
Nos horizons en cohortes obscures de démons
Qui se nourrissent au sépulcre de l'humanité
Gavant du subtil poison qui fait dire : je te bannis Yahvé

Toi, l'insulte, qui n'a jamais compté,
Toi, l'abject mensonge, tu as souillé nos panthéons
D'un flot de larmes et d'anathèmes inféconds
Prends garde si Babylone sévit...Jérusalem va brûler

« Il a voulu que son dieu foutit également. Il détache du ciel cette haïssable portion
de lui-même. On s'imagine peut être que c'est porté sur des rayons célestes,
au milieu du cortèges des anges que va apparaître cette sublime créature.
Pas un mot, c'est dans le sein d'une catin juive, au beau milieu d'une étable à cochons,
que s'annonce le seigneur qui vient sauver la terre ». (Marquis de Sade).

Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l'humanité
Les jours de dieu sont comptés, l'horrible chose que vous prêchez

La fin du Christ a sonné et je crois que sa mémoire ,même morte, est digne de l'humiliation
Car nous avons la conscience noire du règne athée qui lave des souillures à la prosternation de l'agnelle crucifiée

Les jours de dieu sont comptés, le chancre de l'humanité
Les jours de dieu sont comptés, l'infect culte qui la repaît

Autrefois, dieu était gai comme un pinçon roucoulant sur son perchoir
Mais aujourd'hui l'arbre se rompt et je perçois son fils choir
Pas de pitié, pas de remords, ne vois tu pas qu'il est trop tard
Qu 'il flanche ce charpentier bâtard sur son destin de quelques planches.

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