A qui je nuis me pardonne
Sidilarsen
La reprise de la bride,
La sécurité assurée,
Pour déresponsabiliter le peuple,
Sur la nature des relations humaines,
C'est toujours pareil,
Une volonté unique,
Décelée dans la majorité cityoenne.
Si nous sommes tous les mêmes,
Y'aura plus de problèmes.
Le pied de la lettre est à la base des maux,
Les aspirations fiévreuses au contrôle absolu,
Des mouvements spontanés,
Ne sont que les clés du vice,
Il vaut mieux voir que supposer,
Que loi colle avec réalité.
Si nous sommes tous les mêmes,
Y'aura plus de problèmes.
La sécurité assurée,
Pour déresponsabiliter le peuple,
Sur la nature des relations humaines,
C'est toujours pareil,
Une volonté unique,
Décelée dans la majorité cityoenne.
Si nous sommes tous les mêmes,
Y'aura plus de problèmes.
Le pied de la lettre est à la base des maux,
Les aspirations fiévreuses au contrôle absolu,
Des mouvements spontanés,
Ne sont que les clés du vice,
Il vaut mieux voir que supposer,
Que loi colle avec réalité.
Si nous sommes tous les mêmes,
Y'aura plus de problèmes.
La colere me gagne.
A qui je nuis me pardonne.
Je ne veux qu'avancer.
Mon intention est bonne.
Depuis qu'on a décollé nos bouches,
Des seins gonflés de nos mères nourricières,
Rien n'est fini, non plus défini,
Si la parole se gonfle comme une voile,
Nous saurons bien pousser le râle.
Laissez passer l'oxygène,
Dont le rêve est la source,
Les rues sont bleu pâle,
Mais le ciel est gris rage,
Même pousseé dans la marge,
Il y a comme un écho étrange.
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