Cash
Tagada jonesFace à l'épidémie, ce mal mutant plus vite que la pire des maladies,
Une gangrène contrôlée, gentiment dirigée par une main de fer que l'on nomme le marché,
A coup de dés comme dans une partie de risk, les cercles d'initiés jouent les terroristes,
Le monopoly moderne consiste à bâtir, un monde libéral que nous devons trop souvent subir.
Brûlons, brûlons tous les billets verts, détruisons les armes de tous ces gangsters.
Brûlons, brûlons tous les billets verts, refusons le capitalisme de tous ces faussaires.
Détruisons les hôtels rue de la paix, faisons sauter la banque tant qu'on y est !
Changeons les règles de ce jeu faussé, je crois bien que maintenant c'est à nous de jouer.
Je suis d'accord, ce rêve est complètement fou,
Mais bien moins que ce putain de monde de grippe sous.
Où même les syndicalistes mènent, en grande partie,
le même combat que les pires pontes de l'industrie,
d'accord en accord ils symbolisent mon désaccord,
manifestement, ma vie ne vaudrait pas de l'or.
Mort des petites structures, ils veulent la rigueur, moi je veux l'aventure,
Pas de place pour les tout-petits, dans notre économie,
Personne ne se soucie de ceux qui rament dans la vie.
Merde, arrêtez de nous prendre un peu trop pour des cons,
Merde, devons nous vous rappeler le sens du mot
révolution, .révolution,
Brûlons, brûlons tous les billets verts, détruisons les armes de tous ces gangsters.
Brûlons, brûlons tous les billets verts, refusons le capitalisme de tous ces faussaires.
Détruisons les hôtels rue de la paix, faisons sauter la banque tant qu'on y est !
Changeons les règles de ce jeu faussé, je crois bien que maintenant c'est à nous de jouer.
Et comme partout dans ce monde devenu fou,
Et comme partout ils nous porteront des coups….
Brûlons, brûlons tous les billets verts, détruisons les armes de tous ces gangsters.
Brûlons, brûlons tous les billets verts, refusons le capitalisme de tous ces faussaires.
Détruisons les hôtels rue de la paix, faisons sauter la banque tant qu'on y est !
Changeons les règles de ce jeu faussé, je crois bien que maintenant c'est à nous de jouer