Le feu qui matisse
Winter ophélieLe plus torride et troublant des vertiges
Tu es le feu qui m'attise
Le plus torride et troublant des vertiges
Je vis, chaque seconde qui s'offre à moi
Comme au Paradis, et c'est grâce à toi é
Tu m'as souri et tout à coup
Mon coeur s'est dissout
J'en tremble encore de partout
Tout ce que je touche
Tout ce que je vois
Me donne envie de vivre, tout près de toi
Au palais des rêves, tu seras mon roi
Tu es le feu qui m'attise
Le plus torride et troublant des vertiges
Tu es le feu qui m'attise
Le plus torride et troublant des vertiges
Je bois tes paroles, comme du sirop
Quand j'entends je t'aime même à demi-mots
M'enivrer au creux de tes bras
Dans un long soupir, et des larmes de joie
Tout ce que je touche
Tout ce que je vois
Me donne envie de vivre, tout près de toi
Au palais des rêves, tu seras mon roi
Tu es le feu qui m'attise
Le plus torride et troublant des vertiges
Tu es le feu qui m'attise
Le plus torride et troublant des vertiges
Si Dieu nous avait choisis
Les anges nous ont réunis
Bénis nos amours pour la vie
Tu es le feu qui m'attise
Le plus torride et troublant des vertiges
Tu es le feu qui m'attise
Le plus torride et troublant des vertiges