Quand les larmes
Winter ophélieBien au-delà des mots, cachés dans le guetto
Deux êtres déjà promis s'aimaient en secret
Mais leurs familles leur imposent des devoirs
Rien ne pourra empêcher ce mariage arrangé
Le coeur en deuil elle se pliera à son vouloir
Mais dans ses rêves
Elle l'appelle pour qu'il se souvienne
Comme elle l'aime
Qu'elle lui reste à jamais fidèle
Quand les larmes
Ne peuvent atténuer le mal
Qu'il nous désarme
Que le temps s'est arrêté
Qu'il nous condamne
Et nous éloigne
De tout ce qui fait de nous des femmes
Elle passe ses journées derrière ses persiennes
A quoi bon se lever ?
Pour qui se maquiller ?
Quand la vie nous trahit, plus rien n'en vaut la peine
Les yeux perdus, noyée dans ses regrets
Son coeur est fatigué, l'amour est meurtrier
Seule dans son lit, elle attend que sa vie s'achève
Mais dans ses rêves
Elle l'appelle pour qu'il se souvienne
Comme elle l'aime
Qu'elle lui reste à jamais fidèle
Quand les larmes
Ne peuvent atténuer le mal
Qu'il nous désarme
Que le temps s'est arrêté
Qu'il nous condamne
Et nous éloigne
De tout ce qui fait de nous des femmes
Oh no ! Oh no ! Oh no no no no...
Aujourd'hui enfin elle repose en paix
Sa voix comme un écho
Résonne dans le guetto
Elle le gardera dans son coeur à tout jamais
Quand les larmes
Ne peuvent atténuer le mal
Qu'il nous désarme
Que le temps s'est arrêté
Qu'il nous condamne
Et nous éloigne
De tout ce qui fait de nous des femmes