Comptine pour une désespérée
Zaza fournierT'as détourné les yeux.
T'as pas dû voir dans ce regard tout l'amour qu'il y'a pour toi,
mon amour
Mon amour, je t'aime
Mon amour je t'aime quand même
Mon amour, je t'aime
Mon amour je t'aime quand même
Lorsque je t'ai pris la main, tu m'as regardé en coin
Et tu m'as ris au nez
Je n'avais pas l'air malin, mais, au fond, c'est bien fait,
J'étais folle d'oser
Mon amour, je t'aime
Mon amour je t'aime quand même
Mon amour, je t'aime
Mon amour je t'aime quand même
Lorsqu'au bout du combiné j'ai entendu ta voix,
J'ai pas osé moufeter,
J'avais trop peur que tu raccroches, que tu m'envoies valser
Je l'aurai pas volé
Mon amour, je t'aime
Mon amour je t'aime quand même
Mon amour, je t'aime
Mon amour je t'aime quand même
Lorsque je t'ai suivi au sortir d'un café, jusqu'à ton escalier,
Tu t'es retourné, t'as rien dit, tu m'as regardé de haut
Et puis t'es reparti
T'es reparti et je suis restée seule
Seule avec cet air
Avec cet air, qui me ronge la tête, à défaut du cœur
Mon amour, je t'aime
Mon amour je t'aime quand même
Mon amour, je t'aime
Mon amour je t'aime quand même
Lorsque j'aurai compris que tu ne m'aimes pas,
que tu n'existes pas
je me jetterai par la fenêtre après t'avoir écrit une dernière lettre
Mon amour, je t'aime
Mon amour je t'aime quand même
Mon amour, je t'aime
Mon amour je t'aime quand même
quand même quand même quand même
quand même quand même quand même