Épitaphe
Pensées nocturnes
Las de ce monde et de ses marionnettes
Il vécut esseulé, sinistre esthète
A me désabusée méprisant la vie
Il ne peut tenir, survivre à l'ennui
Il vécut esseulé, sinistre esthète
A me désabusée méprisant la vie
Il ne peut tenir, survivre à l'ennui
Ci-gît la dépouille d'un triste solitaire
A présent paisible, remerciant les vers
Esprit perdu en ce monde condamné
Sans espoir ni volonté il avançait
Il avançait d'un pas lourd et léger
Soumis à ce flot d'errements spontanés
Malade d'envier ces heureux ignorants
Il rêvait de ces moments inconscients
Ci-gît le cadavre d'un triste solitaire
A présent placide, remerciant les vers
Maudissant le jour où il s'éveilla
Il voulut partir. Il fuit ce cauchemar
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