Eros
Pensées nocturnes
Jubile folle brume au vicieux bouquet
Ruisselle dans l'une des tristes vallées
Ruisselle dans l'une des tristes vallées
Commet le crime du serpent noyé
Ainsi sera ton sort d'aliéné
Tu vis de honte et de vanité
Imbue de ta longue crinière grisée
Ne déshonore pas tes frêles promis
Ou tu finiras dans l'air des maudits.
Sangsue sanglante sans sentiment
Sens le sens de ces cent qui te vantent
Goûte au plaisir de la liberté :
Oubli ton être et ses plats reflets.
La beauté prend souvent l'intelligent au douloureux piège du désir.
Seul l'idiot reste impassible.
Seul le fou reste paisible.
Encontrou algum erro na letra? Por favor envie uma correção clicando aqui!