Frappent les vagues
Arzel gildas
Des boulots j'en ai fait, d'arrache coeur
Gardien de phare, restait ça, ou ailleurs
J'ai fait tous les bars le dernier soir
Rendez-vous dans trois semaines, au plus tard
Depuis ce matin, j'ai éteint la radio
Jeté de là-haut, ma télé, les journaux
Au rythme des brumes, la terre s'éloigne
Aussi l'amertume, l'océan me gagne
Gardien de phare, restait ça, ou ailleurs
J'ai fait tous les bars le dernier soir
Rendez-vous dans trois semaines, au plus tard
Depuis ce matin, j'ai éteint la radio
Jeté de là-haut, ma télé, les journaux
Au rythme des brumes, la terre s'éloigne
Aussi l'amertume, l'océan me gagne
La relève est là, mais je ne descends pas
Frappent, les vagues sur le rocher
Glissent les lames sans me toucher
Frappent, les vagues à l'âme sans danger
Rien ne peut m'atteindre désormais.
A l'arrogante valse des pétroliers
Au retour ventre vide des chalutiers
Aux indécentes courses des riches voiliers
Je vois bien qu'à terre, rien ne changera jamais
Frappent, les vagues sur le rocher
Glissent les lames sans me toucher
Frappent, les vagues à l'âme sans danger
Rien ne peut m'atteindre désormais
Et si demain, tu veux, solitaire à deux
On aura jamais eu aussi peu besoin d'eux
Frappent, les vagues sur le rocher
Glissent les lames sans nous toucher
Frappent, les vagues à l'âme sans danger
Rien ne peut nous atteindre désormais
A jamais
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