J'avais
Arzel gildasBillet pour à plus tard, à plus loin
On voit défiler les paysages
On croise des maisons, des visages
On se dit qu'il fait chaud pour toujours
On n'en sait rien
C'est fou comme on a si peu conscience
Du fragile quand on a la chance
C'est fou comme on trouve tout ça normal
C'est fou comme à la fin ça fait mal
Moi j'étais posé comme un matin
Je n'en savais rien
J'avais ton image pour y voir
J'avais ton courage pour y croire
J'avais ton visage pour victoire
J'avais davantage sans savoir
J'avais ton voyage maintenant je sais qu'il t'appartient
Je te savais à côté de moi
J'oubliais d'être à côté de toi
Le bonheur est farouche, il s'oublie
On le saisit quand il est parti
Me reste les choses, oui mais le goût
Plus le goût
J'avais ton image pour y voir
J'avais ton courage pour y croire
J'avais ton visage pour victoire
J'avais davantage sans savoir
J'avais ton voyage maintenant je sais qu'il t'appartient
Me reste le temps et rien dedans
Restent quatre murs et quatre vents
Des échos de rires de nuits d'avant
Et je t'avais
Je t'avais
J'avais ton image pour y voir
J'avais ton courage pour y croire
J'avais ton visage pour victoire
J'avais davantage sans savoir
J'avais ton voyage maintenant je sais qu'il t'appartient